Comment expliquer ce phénomène étrange, ce vide qui s'emparait d'ele, chaque fois qu'elle les rejoignait?
Comment expliquer se semblant de faiblesse qui l'assaillait lorsqu'elle se trouvait ici, et qu'elle ressentait les pulsions de ceux de sa race, elle qui, dans sa vie de cloitré, de recluse, était parvenue à enfuir cette malédiction qui faisait partie de la vie des vampires, les damnés?
Le vent, dans son dos, jouait avec ses cheveux long détachés, et les bouclettes doré de ses cheveux voletaient autour d'elle, formant comme un début d'auréole autour de son visage parfait, à la peau lisse et pâle.
Devant elle, comment retenir son désespoire, sa peine? Elle la mère qui couvait de son regard tendre et sévère le monde d'en bas, avec cette même pâleur, ce même air un peu hautain?

_"Lune, mon amie, ma mère, et mère de tout les enfants de la nuit, y parviendrais-je un jour?"

Une larme de sang coula de son oeil gauche, glissant sur sa joue, et tombant au sol.
Le combat de la vie et de la mort dans son être et ce corps qui n'était ni l'un, ni l'autre, tout en étant et l'un, et l'autre, lui pompait toute son énergie! Cette même énergie qu'elle mettait dans ses recherches avec les astres, et les âmes...
Ces recherches qui, pourtant suivit depuis plusieurs années, quelques décennis mêmen ne lui avait encore rien apporter d'aute que le dégout de toute choses!
Tel un fantôme pâle dans sa longue robe noire, Lucrétia flottait dans les brumes entourant les tombes des morts du cimètre, touchant de ses doigts glacés de vampire le bord de chacune d'entre elle, plasmodiant quelques paroles de réconfort à leur âmes prisonnière torturé.
Certain spectres hantaient encore les lieux, pleurant de dépit sur la tombe emprisonnant leur corps mort, ou, parfois, celle de son ancien conjoint.
La vampire blonde alla s'asseoir sur une tombe, dont la sépulture, comme beaucoup d'autre avant, avait été pillé.
Avec une étrange douceur, elle enleva ses gants, et remis la corps en place, dans son cercueil, le bordant comme une mère l'aurait faire pour son enfant, puis referma le couverte, et remis la pierre qui aurait dû sceller à tout jamais son chagrin et sa peine.
Enfin, s'essuyant les mains sur un mouchoir, elle s'asseya sur la tombe et, levant les yeux vers la lune, murmura, ses paroles se perdant dans le vent frais du soir:

_"Mère, donner moi la force de ne pas sombrer dans la folie... Mère, redonner moi le goût de vivre sans le retirer à la vie des autres..."

Un étrange son sorti de sa bouche, pareil à un chant magique et envoûtant, une longue et mélancolique mélopée, si douce et douloureuse à écouter, qui emplissait l'ait épais du cimetière, le teintant d'une vie nouvelle.
C'était le chant de la nuit, le chant de la lune, lorsque celle ci était pleine, et qu'elle regardait de son oeil tendre et sévère les enfants de la nuit se débattre dans un monde sans but et sans avenir.
Le chant des vampire!

Kana ne pouvait retenir ses larmes. Derrière elle se trouvaient des centaines de tombeaux pillés. Mais ce n'etait pas ce qui se trouvait derriere elle qui lui fendait le coeur c'etait ce qui se trouvait devant: devant elle le dernier refuge de sa cousine, pillé lui aussi comme la plupart des sepultures de ce cimetiere souillé. La jeune fille déplia ces ailes semblables à celles des anges qu'elle detestait tant, mais d'un noir d'encre en signe d'hommage à la disparue.
Comment refouler sa douleur interieure qui la detruisait un peu plus chaque jours sans que personne ne s'en préoccupe.
Ecoutant le chant du vent la jeune fille apperçu une douleur pareille a la sienne. Esuyant ses larmes elle se dirigea vers la source du chant essayant de trouver du reconfort dans la douleur des autres.
Kana aperçu de loin une vampire tenant le corps d'un mort dans ses bras , s'addressant a la lune essayant de trouver du réconfort espérant une réponses. Rien ne vint. Alors, la jeune fille s'avança de l'obscurité, n'arrivant pas a contenir ses larmes malgrés ses efforts, pour la clarté de la lune.

Sa bouche se referma doucement sur une dernière note de mélancolie noire.
Lucrétia laissa le mort se reposer en paix, et remis avec une douceur extrême la pierre tombal sur son caveau.
Des nuages aux reflets apparurent devant la dame de la nuit, masquant son aura apaisant sur la vampire, qui en laisas échapper un profond soupir de désespoir.
La vie n'avait aucun sens à ses yeux azurs, et elle ne compernait pas comment il pouvait en avoir d'avantage aux yeux des autres races... A moins qu'eux même n'y trouve pas de solution également...
Et dans ce cas, combien étaient-ils, condanés à vivre, emprisonnés dans leur corps vivant, ne sachant vivre enfin, mais ne pouvait mourir?
La question l'obsèdait depuis si longtemps!
Un jour, un jour, grâce à ses recherches, elle trouverais le véritable sens de la vie -ou de la mort!
Mais elle même, par moment, se perdait dans son raisonnement, qui, évoluant au fur et à mesure des expérience, apparaissaient souvent comme contradictoire!
Fallait-il s'oublié, vivre en simple spectateur dans ce monde mortel, pour pouvoir mieux se protéger de tous ses péchés, ou bien s'engagé pleinement de ce flux constant et incontrôlable, impétueux et inexplicable, n'ayant pas vraiment de raison d'être, mais ne sachant disparaitre.
Lucrétia sentait -lorsque la lune ne pouvait plus couvrir ses épaules de sa couverture de lumière apaisante- qu'elle faiblissait.Les premières pulsions vampiriques réappaissaient parfois, elle qui avait prit tant de temps à la gommer de sa personnalité...
Soudain, Lucrétia se retourna!
Elle avait sentit une présence...
Et elle avait sentit l'odeur salée des larmes...
Quelqu'un pleurait, dans l'ombre de la brûme laiteuse qui flottait sur le cimetière.
affichant son masque d'impartiabilité sur son visage lisse et net, la vampire se leva avec lenteur et grâce, et, d'un pas assuré, se dirigea vers le bruit du sanglot.
Elle ne tarda pas à tomber sur une jeune fille démonne, elle même avançant vers elle.
Le vent morbide du cimetière se glissa sous ses jupes et jupon, faisant voleté leurs dentelles, et lécha de son souffle répugnant les mollets fermes de la jeune femme, campée sur ses deux jambes droites.
Se penchant vers la jeune démonne, Lucrétia l'observa quelques seconde, avant de lui dire, sa voix sans émotions et sentiments s'élevant hors de sa bouche:

_" il est rare de voir les larmes du démon... Souvent on pense qu'il n'ont ps de coeur... Qu'elle coeur a- t- on brisé pour voir des diamans aux valeurs reconnus seul par les poètes sur vos joues enfantines?"

Le vampire s'avança vers kana,tout dans sa démarche montrait sa tristesse.l'inconnue ouvrit la bouche,la jeune fille se crispa, un son a la fois mélancolique et mystérieux en sortis:

"il est rare de voir les larmes du démon ...Souvent on pense qu'il n'ont pas de cœur... Qu'elle cœur a-t-on brisé pour voir des diamants aux valeurs reconnus seul par les poètes suer vos joues enfantines"

La démone ne répondit rien très embarrassées par la situation, les larmes sue ses joues coulant comme une cascade que rien ne peut arrêter. le silence se fit lourd prolongeant la tristesse de ce moment. En dehors de certaines personnes proches a kana personne ne l'avait jamais vu pleuré, c'était comme si le destin avait voulu révélé au monde entier la douleur qui emprisonné la démone.

toujours rien pas un son sortant des lèvres des des deux filles,seules le vent qui souffle, une chouette qui hurle et une profonde mélancolie:celle du destin.

kana prit enfin la parole :

"Et toi vampire puis-je te retourner la question ? Pourquoi est-tu ici et pourquoi prendre un cadavre dans les mains cela ne le fera pas revenir!!!!!!"

Malgres elle kana vait criée comme si la vampire jouait avec ses sentiments...comme si elle poussait son ame d'enfant-si bien dissimulé- reapparaitre ; tous cela a cause de sa presence a cette vampire.